THE RESURRECTION OF CHRIST

Orazio Alfani returned to his native city of Perugia in 1545, after a long stay in Sicily. He was given several commissions at San Pietro, beginning in 1548, the year in which he came to an agreement with Biordo degli Oddi for the decoration of his chapel. The paintings on the vaulted ceiling have fallen, and as a result the painting of The Resurrection remains the last evidence of this undertaking. Final payment for the painting was made in 1551.

SAN COSTANZO

En 1495, Pietro Vannucci, au sommet de sa carrière artistique, reçoit une importante commission des bénédictins de Pérouse: le grand autel dédié à l’Ascension du Christ. Nous ne connaissons pas la structure originale du polyptique, même si les érudits, d’abord Walter Bombe, ont tenté des reconstructions hypothétiques.

PIETÀ BETWEEN ST. JEROME AND ST. LEONARD

The panel shows the Blessed Mother holding the dead Christ. At her side are St. Jerome, inspired by an angel and intent on writing, and St. Leonard, who is recognizable by his handcuffs, his traditional characteristic. The litanies traditionally recited during Good Friday liturgies are written on the halos of Christ and his Mother (the Blessed Mother’s says, “desolata sum nimis”; that of her Son, “virtus mea infirmata est”).

SAN BENEDETTO LIVRE LE LIVRE DE LA RÈGLE

Eusebio da San Giorgio fut l’un des disciples les plus fidèles du Perugino: il à collaboré avec le maître aux deux grands polyptyques de San Pietro (1495-1500) et de Sant ‘Agostino (1502-1523). A également exercé une activité indépendante dont le panneau décrivant San Benedetto donnant la Règle témoignerait. C’est, peut-être, le tableau mentionné dans certains documents d’archives, terminé et soudé en 1492.

SAN BENEDETTO DA NORCIA

Dans la deuxième colonne à droite se trouve une fresque représentant Saint Benoît de Norcia selon l’iconographie traditionnelle qui le lui a légué, avec une barbe et avec les attributs de la pastorale et le livre de la règle en main. L’effigie du fondateur de l’ordre a probablement été réalisée par un disciple de Benedetto Bonfigli, protagoniste de la peinture pérugienne de la seconde moitié du XVe siècle.

SAINTE CATHERINE D’ALEXANDRIE

La Sainte Catherine d’Alexandrie, représentée avec la palme du martyre et la roue dentée, complète la série de saints martyrs réalisée par Giovan Battista Salvi, connu sous le nom de Sassoferrato pour le monastère de San Pietro.

SAINT PIERRE GUÉRIT UN INFIRME

Les documents d’archives rappellent qu’Orazio Alfani a été payé entre 1547 et 1548 « pour les peintures de la chorale » représentant les Histoires de saint Pierre et de saint Paul. Le peintre a probablement eu recours à l’aide de Leonardo « dal Borgo », ou de Leonardo Cungi, originaire de Sansepolcro, mentionné dans un paiement de 1556. Le choeur de la basilique, située à l’origine au centre de l’église, a été démantelé à la fin du XVIe siècle.

WEDDING FEAST AT CANA

There are three paintings in the Chapel of the Blessed Sacrament by Giorgio Vasari, the painter, architect and historian from Arezzo. A careful and precise expression of 16th century mannerism, brought to Perugia by one of the most faithful of Michelangelo’s followers, the canvasses are witness to Vasari’s mastery of painting, an art in which he had already acquired substantial practice in the palazzo della Cancelleria in Rome, the refectory of the Church of Sant’Anna dei Lombardi in Naples, and the Sala dei Cinquecento in Palazzo Vecchio in Florence.

SAINT JEAN BAPTISTE

La formation artistique du peintre perugien Giovan Francesco Cerrini, dit Cavalier Perugino, a dû commencer très tôt à Pérouse en contact avec Gianantonio Scaramuccia, élève d’Annibale Carracci et ami proche de Guido Reni. La formation du maitre explique sa forte orientation vers la peinture bolognaise; Ce fait le conduira à élaborer un langage aulique, purement classiciste, dépourvu de toute dérive baroque.

SAINT BENOÎT ENVOIE SAINT MAURUS EN FRANCE POUR RÉPANDRE LA RÈGLE

Le peintre Giovanni Fiammingo, nom italianisé de Jan Schepers, originaire d’Anvers, semble être présent à Pérouse depuis 1579, date à laquelle il a obtenu la citoyenneté. Spécialisé dans la création de paysages (voir, entre autres, les quatre grandes vues de la salle rouge du Palazzo dei Priori), il travaille comme peintre de fresques à San Pietro à partir de 1592. Il travaille souvent aux côtés de la figuriste pérouse Scilla Piccinini.

Pagine

Abbonamento a App Fia RSS